Diane Vroland et Delphine Beauvais accompagnent les femmes victimes de violences conjugales, au sein de l’association Solfa.

Le constat

La Flandre n’est pas épargnée par le sujet des violences conjugales. Delphine Beauvais, directrice du pôle violences faites aux femmes de l’association Solfa, l’a encore rappelé récemment lors des rencontres organisées par la députée Jennifer de Temmerman. « Il faut sortir du stéréotype qui veut qu’il s’agisse de femmes en situation de précarité, c’est faux. Ça touche toutes les sphères de la société et tous les âges. » Dans le secteur, ce sont 79 femmes qui ont été suivies l’année dernière par l’association. Vingt-trois femmes et vingt-cinq enfants ont par ailleurs été accueillis dans les hébergements d’urgence que Solfa gère à Hazebrouck. « En 2018, nous avons réalisé à l’antenne d’Hazebrouck 306 entretiens et pris 418 appels téléphoniques.  » Delphine Beauvais rappelle qu’il « y a les violences physiques, mais aussi psychologiques, sexuelles, économiques, administratives et verbales. »

–> Retrouvez l’intégralité de l’article sur le site de La Voix du Nord. https://cutt.ly/IebqcT9

Written by

Marine Brian

Diplômée de l’Institut Supérieur de Communication et de Publicité de Paris et après des expériences professionnelles au Quai d’Orsay puis au Sénat, Marine a rejoint l’équipe de la députée en septembre 2019.
Elle est en charge de la communication et des relations publiques à l’Assemblée Nationale.